SEO/GSEO

Les erreurs SEO les plus courantes chez les PME québécoises

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Emilie Dumont
9/10/25

On le voit souvent : des PME investissent dans un beau site, publient du contenu, font un peu de pub… mais n’obtiennent aucune visibilité organique durable. Pourquoi ? Parce qu’elles tombent dans les pièges classiques du SEO, ceux qui freinent leur croissance sans qu’elles s’en rendent compte. Chez Pour Vrai Marketing, on audite chaque année des dizaines de sites québécois — et les mêmes erreurs reviennent encore et encore. Dans cet article, on vous montre les erreurs SEO les plus courantes chez les PME, et surtout comment les corriger pour bâtir une stratégie performante à long terme.

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Erreur #1 – Négliger la structure du site et des pages

Une hiérarchie confuse = une visibilité limitée

Beaucoup de sites PME sont conçus sans logique hiérarchique claire. Résultat : Google et les IA ne savent pas “qui fait quoi”.
Une architecture efficace, c’est :

  • une page d’accueil claire,
  • des pages services bien distinctes,
  • un blogue structuré par thèmes.

Pour savoir comment bien organiser tout ça, lisez notre article Comment structurer vos pages Webflow pour un SEO maximal.

Des balises mal utilisées

On voit souvent des H1 dupliqués, des H2 utilisés pour la mise en forme, ou des titres sans mot-clé.
Pourtant, la structure sémantique (<h1>, <h2>, <h3>) est le langage de base de Google.
Chaque page doit avoir un seul H1 bien choisi, et une hiérarchie logique derrière.

Erreur #2 – Oublier l’intention de recherche

Parler de soi plutôt que de ce que cherche le client

C’est LA faute la plus fréquente.
Les PME parlent d’elles (“nos services”, “notre expertise”), mais oublient de répondre à l’intention réelle de recherche de leurs clients.

Exemple :
Un plombier de Laval optimise sa page pour “plomberie Laval” alors que les internautes cherchent “réparer fuite d’eau rapidement”.

Le GSEO, une réponse à ce problème

Le GSEO (Generative SEO) mise sur la compréhension sémantique et l’intention.
Plutôt que d’empiler des mots-clés, on structure le contenu autour des questions, besoins et contextes des utilisateurs.
→ Voir notre article GSEO : le référencement nouvelle génération à l’ère de l’intelligence artificielle.

Erreur #3 – Produire du contenu sans stratégie

Publier pour publier

Certaines entreprises publient un article par mois “pour le SEO”… sans savoir pourquoi.
Mais sans plan sémantique clair, ces articles ne se soutiennent pas entre eux.

Une bonne stratégie de contenu repose sur :

  • un mot-clé principal par article,
  • un cluster thématique cohérent,
  • un maillage interne intelligent.

Exemple : un article sur “les mots-clés à longue traîne” devrait renvoyer vers “SEO local” ou “optimisation de contenu IA”.

Contenu générique ou peu crédible

Google et les IA cherchent des signaux d’expertise réelle.
Si vos textes sont copiés, trop vagues ou générés sans contexte, ils n’auront aucune valeur SEO.
Mieux vaut 5 articles pertinents et profonds que 20 superficiels.

Erreur #4 – Ignorer les données structurées et les aspects techniques

L’absence de schémas JSON-LD

Les données structurées aident Google à comprendre le type de contenu d’une page (article, service, FAQ…).
Elles sont cruciales pour le GSEO et pour apparaître dans les résultats enrichis (rich snippets).

→ Découvrez comment les intégrer dans Le guide complet des schémas JSON-LD pour vos pages services.

Des problèmes techniques non corrigés

Des balises manquantes, des images non compressées, des redirections mal gérées… autant de petits problèmes qui font chuter la performance.
Avant de créer du nouveau contenu, il faut corriger la base technique.

Le cas Webflow et WordPress

Les deux plateformes sont SEO-friendly… à condition d’être bien configurées.
Dans Webflow, par exemple, pensez à :

  • définir des balises méta ;
  • activer les redirections automatiques ;
  • optimiser les images dans l’éditeur.

Erreur #5 – Négliger l’expérience utilisateur (UX)

Un site lent, confus ou peu engageant

Même avec un bon contenu, si le site est lent ou peu lisible, Google le rétrograde.
Les signaux UX (taux de rebond, temps passé sur la page, interaction) comptent de plus en plus.

Lisez aussi : Pourquoi l’expérience utilisateur (UX) influence désormais votre positionnement.

Pas d’appel à l’action clair

Un visiteur doit savoir quoi faire après sa lecture.
“Contactez-nous” ou “Parlez à un stratège” sont des CTA simples mais essentiels pour guider l’expérience.

Erreur #6 – Ne pas mesurer la performance SEO

Le SEO n’est pas “réglé une fois pour toutes”

Trop de PME considèrent le SEO comme un projet à court terme.
En réalité, c’est une démarche continue d’analyse et d’ajustement.

Suivre les bons indicateurs

  • Trafic organique (Google Analytics)
  • Positionnement des mots-clés (Google Search Console)
  • Taux de clics (CTR)
  • Liens entrants et temps de lecture

Pour les contenus multimédias, consultez notre article : “Comment mesurer la performance SEO de vos vidéos et podcasts”.

Conclusion

Les erreurs SEO ne viennent pas d’un manque de volonté, mais souvent d’un manque de structure et de stratégie.
Bonne nouvelle : elles se corrigent facilement, surtout si on adopte une approche GSEO.

Parlez à un stratège Pour Vrai Marketing pour un audit complet et une stratégie SEO adaptée à votre réalité d’entreprise québécoise.

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