On le voit souvent : des PME investissent dans un beau site, publient du contenu, font un peu de pub… mais n’obtiennent aucune visibilité organique durable. Pourquoi ? Parce qu’elles tombent dans les pièges classiques du SEO, ceux qui freinent leur croissance sans qu’elles s’en rendent compte. Chez Pour Vrai Marketing, on audite chaque année des dizaines de sites québécois — et les mêmes erreurs reviennent encore et encore. Dans cet article, on vous montre les erreurs SEO les plus courantes chez les PME, et surtout comment les corriger pour bâtir une stratégie performante à long terme.
Beaucoup de sites PME sont conçus sans logique hiérarchique claire. Résultat : Google et les IA ne savent pas “qui fait quoi”.
Une architecture efficace, c’est :
Pour savoir comment bien organiser tout ça, lisez notre article Comment structurer vos pages Webflow pour un SEO maximal.
On voit souvent des H1 dupliqués, des H2 utilisés pour la mise en forme, ou des titres sans mot-clé.
Pourtant, la structure sémantique (<h1>, <h2>, <h3>) est le langage de base de Google.
Chaque page doit avoir un seul H1 bien choisi, et une hiérarchie logique derrière.
C’est LA faute la plus fréquente.
Les PME parlent d’elles (“nos services”, “notre expertise”), mais oublient de répondre à l’intention réelle de recherche de leurs clients.
Exemple :
Un plombier de Laval optimise sa page pour “plomberie Laval” alors que les internautes cherchent “réparer fuite d’eau rapidement”.
Le GSEO (Generative SEO) mise sur la compréhension sémantique et l’intention.
Plutôt que d’empiler des mots-clés, on structure le contenu autour des questions, besoins et contextes des utilisateurs.
→ Voir notre article GSEO : le référencement nouvelle génération à l’ère de l’intelligence artificielle.
Certaines entreprises publient un article par mois “pour le SEO”… sans savoir pourquoi.
Mais sans plan sémantique clair, ces articles ne se soutiennent pas entre eux.
Une bonne stratégie de contenu repose sur :
Exemple : un article sur “les mots-clés à longue traîne” devrait renvoyer vers “SEO local” ou “optimisation de contenu IA”.
Google et les IA cherchent des signaux d’expertise réelle.
Si vos textes sont copiés, trop vagues ou générés sans contexte, ils n’auront aucune valeur SEO.
Mieux vaut 5 articles pertinents et profonds que 20 superficiels.
Les données structurées aident Google à comprendre le type de contenu d’une page (article, service, FAQ…).
Elles sont cruciales pour le GSEO et pour apparaître dans les résultats enrichis (rich snippets).
→ Découvrez comment les intégrer dans Le guide complet des schémas JSON-LD pour vos pages services.
Des balises manquantes, des images non compressées, des redirections mal gérées… autant de petits problèmes qui font chuter la performance.
Avant de créer du nouveau contenu, il faut corriger la base technique.
Les deux plateformes sont SEO-friendly… à condition d’être bien configurées.
Dans Webflow, par exemple, pensez à :
Même avec un bon contenu, si le site est lent ou peu lisible, Google le rétrograde.
Les signaux UX (taux de rebond, temps passé sur la page, interaction) comptent de plus en plus.
Lisez aussi : Pourquoi l’expérience utilisateur (UX) influence désormais votre positionnement.
Un visiteur doit savoir quoi faire après sa lecture.
“Contactez-nous” ou “Parlez à un stratège” sont des CTA simples mais essentiels pour guider l’expérience.
Trop de PME considèrent le SEO comme un projet à court terme.
En réalité, c’est une démarche continue d’analyse et d’ajustement.
Pour les contenus multimédias, consultez notre article : “Comment mesurer la performance SEO de vos vidéos et podcasts”.
Les erreurs SEO ne viennent pas d’un manque de volonté, mais souvent d’un manque de structure et de stratégie.
Bonne nouvelle : elles se corrigent facilement, surtout si on adopte une approche GSEO.
Parlez à un stratège Pour Vrai Marketing pour un audit complet et une stratégie SEO adaptée à votre réalité d’entreprise québécoise.